Qui sommes-nous ?
Nous sommes deux militants communistes. Nous avons voulu créer une marque de vêtements pour révolutionnaires élégants.
La Petite République était le titre du quotidien de Jean Jaurès durant l'Affaire Dreyfus. Aujourd'hui, nous rendons hommage aux luttes sociales et à ceux qui les mènent avec des vêtements qui sont aussi des étendards.
La Petite République est une marque déposée.
Nos valeurs
Communistes, nous militons au quotidien pour les droits sociaux des travailleurs, en France comme dans le reste du monde. Mais une fois ce principe de lutte énoncé, pas facile de l'appliquer dans le domaine de l'habillement… Dans l'industrie de la mode, la fast fashion (mode jetable) fait des ravages. Les travailleurs sont exploités, les coûts réduits au maximum, les profits étendus au maximum… et la planète encore une fois sacrifiée sur l'autel du business.
Dans cet océan de nuisances, impossible de proposer une marque 100 % vertueuse. Produire et consommer, c'est toujours polluer et participer, même à échelle microscopique, à un système économique prédateur. Voilà pourquoi nous ne prétendrons jamais être des modèles, ni sociaux, ni écologiques.
Nous avons choisi d'agir à notre niveau en jouant la carte de la transparence :
- En proposant des vêtements de qualité imprimés en France, là où les textiles vendus auprès des publics militants sont le plus souvent à très bas prix et donc produits dans des conditions catastrophiques
- En choisissant des textiles bio ou recyclés, expédiés depuis le Sud de la France avec 0% de plastique et 100% de matières recyclées
- En valorisant les textiles Made in France, même s'ils sont (évidemment) plus chers et donc parfois peu en phase avec notre porte-monnaie
- En nous limitant à la réalisation de produits à la demande, ce qui permet d'éviter les stocks et les gâchis
- En choisissant, pour les textiles produits en Asie du Sud, une marque belge, Stanley/Stella, qui bénéficie d'un label social, qui garantit un travail légalisé à des dizaines de milliers d'employés, un salaire supérieur au salaire légal en vigueur, une parité homme/femme quasiment respectée (51% d'hommes et 49% de femmes) et une sécurité physique sur le lieu de travail.
Bien sûr, on pourra trouver que ces efforts sont une goutte d'eau. Il y a tant à faire pour révolutionner l'industrie de la mode ! Mais au-delà des postures, nous avons tous dans nos placards des textiles produits dans des conditions bien pires ou plus opaques…
Une chose est sûre, le profit n'est pas notre motivation. Nous avons d'autres sources de revenus et La Petite République n'a pas pour but de « faire du fric ».
Nous aimons nos vêtements et nous aimons les porter, tout simplement. Nous sommes à l'affût de tout ce qui pourrait nous permettre d'évoluer vers un modèle encore plus vertueux. Nous sommes ouverts à toutes les suggestions, les conseils, les propositions. Écrivez-nous, partagez vos idées ou vos exigences : info@petiterepublique.fr
Merci de nous avoir lus jusque là camarades !